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Bienvenue sur le site du syndicat cgt de l'aide à domicile
du Rhône et de la Métropole de Lyon
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| Le syndicat est né... ça se fête ! |
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| femmes et hommes... pour l'égalité |
MARDI 8 MARS 2022
L'Assemblée Générale des personnels de l'Aide à Domicile
a fondé le SYNDICAT CGT DE L'AIDE A DOMICILE 69
Ce syndicat rayonne sur le Département du Rhône et la Métropole de Lyon.
C'est une nouvelle étape dans l'organisation d'une profession marquée par l'isolement des salariées et salariés.
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adhérez, cliquez sur la page "ADHÉREZ AU SYNDICAT"
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A bientôt....
REVUE DE PRESSE :
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| Photo Progrès /Sylvie SILVESTRE Lien vers LE PROGRÈS |
Pandémie,
scandale autour de certains Ehpad privés… En cette période,
l’enjeu du maintien à domicile des personnes âgées, malades ou
dépendantes, n’en est que plus fort. Et le personnel, en première
ligne. Clés du système, les personnels de l’aide à domicile se
sentent pourtant les « oubliés du Ségur ». Depuis
quelques mois, ils s’organisent pour défendre leurs intérêts et
leurs conditions de travail dans un contexte très concurrentiel,
générant parfois ce qu’ils ressentent comme une véritable
exploitation.
Gagner
en force juridique et en visibilité
Un collectif a tout d’abord été créé,
puis mardi 8 mars, celui-ci a cédé le pas à un syndicat à
part entière. « Le choix de le faire à la date de la Journée
des droits de la femme est important pour cette profession, féminine
à 95 % », soulignent les responsables. À la Bourse du
travail, le Syndicat CGT de l’aide à domicile Rhône et Métropole
a ainsi vu le jour, en présence d’une trentaine de membres. Une
manifestation devant la préfecture s’ensuivait, dans l’après-midi.
La secrétaire Nora Aitsy insiste : « Ce
syndicat nous donnera une force juridique supplémentaire et une
meilleure visibilité », tandis que Zohra Fadelane, adjointe,
précise : « Souvent, les auxiliaires sont très
dispersées, ne se connaissent pas entre elles : il y a beaucoup
d’isolement. D’où l’intérêt d’une structure pour
mutualiser les moyens et les revendications. »
Bas salaires, temps partiels imposés,
annualisation du temps de travail, absence de rémunération de
certains trajets, faible compensation des frais de déplacements,
plannings irréalisables, mais aussi ajout de nouvelles tâches, sans
formation ni qualification, et découpage en quatre conventions
collectives, etc., sont autant de points, sur lesquels la jeune
organisation va travailler. Et de conclure : « Nos
collègues peuvent nous rejoindre. » Sylvie SILVESTRE
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